27/09/2016

2) LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES / Parks [Sikora 2 V Abr]




   LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES 
  .                                          de Anton Parks 
                     © Une RECONNAISSANCE
                                            version abrégée
                                         par Irénée Sikora
.                                                 27/09/2016





LES CHRONIQUES DU ǦÍRKÙ
ANTON PARKS

LE  SECRET  DES  ÉTOILES  SOMBRES
édition intégrale, revue et complétée par l'auteur

© 2016, Pahana Books - La Source de nos Origines



© Une version abrégée de la RECONNAISSANCE pour le livre
"LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES" de Anton Parks
par Irénée Sikora, FlorRaison 27/09/2016 

ci-dessous








La version intégrale d'origine de cette reconnaissance 
est affichée ici même dans le blog FlorRaison à la date du 28/09/2016  








Une version abrégé
de la reconnaissance pour le livre 
"Le Secret des Étoiles Sombres" de Anton Parks 

par Irénée Sikora




La promesse a été tenue. "Le Secret des Étoiles Sombres" d'Anton Parks nous parvient comme tome I (Un) donnant suite au document "Le Livre de Nuréa" - tome 0 (Zéro) du même auteur. Ces deux œuvres s'inscrivent dans une impressionnante et volumineuse série des Chroniques du cristal Ǧírkù.

Dans cette série, déblayés de leur ballast mythologique et spéculatif démesurément lacunaire et rouillé, sont relatés des événements civilisateurs majeurs révolus dans un passé universel plus-que-lointain, mais qui s'avèrent aujourd'hui de la plus haute importance à la compréhension abyssale de qui nous sommes et à l'identification de notre tâche collective qui en résulte sur le chemin de l'évolution sociale et karmique de notre espèce ne serait-ce qu'à l'échelle galactique de la Vie manifestée sous diverses formes d'unités de conscience de soi.

Quelques renoncements bénéfiques contrebalancés par un corps de précisions supplémentaires et plusieurs ajouts révélateurs inédits produisent en définitive une reconfiguration textuelle à la fois subtile et capitale du livre "
Le Secret des Étoiles Sombres". En fait, il s'agit d'une deuxième édition de cet ouvrage révisé et complété par l'auteur. Le résultat est là. C'est une réussite de référence du moins pour ceux qui, ne se bornant pas à satisfaire un besoin éphémère de lecture, soient capables tantôt de faire une pause de réflexion, tantôt d'observer avec intérêt le fascinant processus d'une écriture laborieuse qui nous instruit, d'une écriture prodiguée par un chercheur courageux, hautement compétent et honnête.

Soucieux d'impartialité et fidèle à sa transparence redoublée de cette rigueur qui ne concède aucun compromis dans le travail, Anton Parks nous expose donc une suite. Cette fois-ci il est question des préliminaires d'une guerre dont le déroulement aura à jamais imprimé sa signature traumatique dans la mémoire de tous les protagonistes qui, de gré ou de force, y prirent part et dont les conséquences auront inévitablement entraîné la transformation matérielle des perceptions de cet Univers que nous qualifions spontanément comme étant "notre réalité". 

Or, en traversant les cycles cosmiques interconnectés par les ouvertures spatio-temporelles parfaitement quantifiables, un lien de nature quantique a été rétabli entre une portion cruciale d'un passé considéré depuis notre perspective comme immémorial et notre temps présent. Il y a une raison à cela. Ce lien est concrétisé dans l'échange d'informations vitales entre les mondes évoluant simultanément, mais à des vitesses de la perception de la lumière différentes et par conséquent, évoluant dans des temps différents. Le rétablissement d'un tel échange est aujourd'hui possible du fait que, en accord avec le mouvement universellement synchronisé des aiguilles sur le cadran de l'horloge solaire et sur celui de l'horloge galactique, nous vivons une brève période de transition de quatre-vingt-dix ans pendant laquelle les temps se rapprochent jusqu'à leur point de fusion, autrement dit une période de la fin des temps entre deux grands cycles cosmiques. Au-delà de cette période, un nouveau calendrier commence. Vivre aujourd'hui là où nous sommes est une chance inouïe parce que c'est surtout maintenant qu'il est en notre pouvoir d'arranger nos futurs pour en choisir les meilleurs à la seule condition qu'ils convergent vers l'existence saine et prospère de nous tous. Pour ce faire, il devient impératif de redécouvrir nos Origines. Des scientifiques impartiaux et honnêtes confirment cette évidence. Notre grand passé nous revient par-delà les abîmes cycliques d'amnésie dont souffre la conscience historique collective de l'espèce humaine qui trop souvent n'a pas su contrôler ses pensées ...  

Sur notre Planète Bleue, quelques individus s'acquittent de leur tâche en nous rapportant des éléments de liaison essentiels pour notre éveil cognitif et l'indispensable transformation de notre réalité déficiente en une réalité nouvelle d'un jamais-vu régénérateur au sein de laquelle le mieux-être de toutes les formes de Vie sans exception fait la loi. Cette transformation passe inexorablement par la maîtrise de nos propres pensées, ce dont de plus en plus d'humains commencent à se rendre compte et ce qui est une excellente nouvelle en soi. Dans ce contexte, la contribution d'un Anton Parks apparaît comme étant d'une valeur unique et naturellement inestimable. D'autant plus que contrairement à quelques apparences, ce que fait ce chercheur a énormément à voir avec la science et, ce que j'ose avancer : n'a rien à voir avec la fiction. Cet avancement trouve sa cause dans mes explorations et expériences personnelles aujourd'hui susceptibles d'être appuyées scientifiquement.

Cela dit,
[...] tant que vous savez apprécier un parfum de science-fiction, d'enquête, d'essai, d'étude ainsi que de roman et tant que vous n'écartez pas le plaisir de vous distraire de manière inhabituellement enrichissante, vous aurez de quoi vous régaler. Concernant la première édition du livre, Alain Gossens - un grand journaliste d'investigation qui a brillamment pressenti l'importance phénoménale du casnommé Anton Parks - a relevé avec justesse : " "Le Secret des Étoiles Sombres" transcende les genres ".

Quoi qu'il en soit, les rescapés de la guerre arrivèrent délibérément sur Uraš, la future Terre, avant que le pacifique genre Ukubi (dénomination proto-sumérienne signifiant "Peuple Inférieur" ou Homo) de cette planète ne fût soumis aux manipulations génétiques consécutives au terme desquelles le sous-embranchement Ádam-Min ("Troupeaux/Animaux-Deux" ou Homo Sapiens) vit le jour. Mais patience, cette autre partie de notre histoire nous sera relatée dans "Ádam Genisi
š" - le tome II (révisé et complété par l'auteur) de la série en question. 

[...]

La composition des trois premiers volumes des Chroniques du cristal Ǧírkù témoigne d'une singularité par excellence surprenante. Or, les chapitres qui commencent par un titre suivi d'une ou de quelques citations, avant que le récit propre ne soit entamé, portent toujours la marque d'identifiant unique d'enregistrement, très probablement inintelligible pour la grande majorité des lecteurs. Cela est dû au fait que, translitérés en alphabet latin, tous ces identifiants sont consignés en proto-sumérien. Sans aller trop loin dans la révélation de ce qu'ils contiennent, au premier coup d'œil l'on s'aperçoit qu'ils sont tous constitués de deux segments. Ici, je me permets juste de signaler que les segments de gauche contiennent le nom de celui qui introduit l'information, tandis que ceux de droite - un nombre. Ces identifiants pourraient être traduits en français et pourtant ne le sont pas, parce qu'il y a une raison à cela. Quoi qu'il en soit, ce détail laisse entrevoir l'impressionnante amplitude de la force de fidélité dans la transmission de tous les messages originaux qui structurent le récit intégral de l'Histoire tel qu'il est gravé dans les Chroniques.

Spectaculaire et pourtant passé certainement quasi inaperçu, il est un autre détail qui m'enchante au plus haut degré. Anton Parks excelle dans le choix des citations. Dans la série des Chroniques du Ǧírkù, c'est exactement et surtout là où sa liberté s'exprime. "Le secret des Étoiles Sombres" en est un exemple manifeste. Préservée de toute interférence nuisible et inappropriée, l'Intuition de ce chercheur s'avère inestimable dans ce domaine et il sait L'écouter. Il va de soi que ses compétences conjuguées d'archiviste et d'homme de lettres rendent le défi illustrement surmontable. 
En conséquence, sans exception tout chapitre s'ouvre avec un extrait tiré d'un document extérieur non anodin lequel à chaque fois anticipe de manière obligatoirement concise ce qui aura été exposé plus loin. Oui bien sûr, dans n'importe quel ouvrage édité, telle est la fonction de la citation. Néanmoins, dans le cas des Chroniques du Ǧírkù, toutes ces citations deviennent matriciellement partie intégrante de l'histoire relatée. Tout d'un coup, un récit de la Genèse "Le Livre d'Adam", "Les Manuscrits de la Mer Morte" ou plus précisément de Qumrân (المخطوطات قمران  et  כתבי יד קומראן), "La Bible de Jérusalem", "זֹהַר ou Le Zohar", مخطوطات نجع حمادي  autrement dit la Bibliothèque de [...] Nag Hammadi (en Haute-Égypte) contenant une très riche collection de textes de courants spirituels apocryphes et gnostiques (donc rejetés par la censure de l'Église) dont "L'Évangile de Thomas", ensuite l'incontournable "𒂊𒉡𒈠𒂊𒇺 (en akkadien) ou Enûma Eliš", ou bien encore "Les Textes des Pyramides", voire même une source d'informations additionnelles fondamentales en provenance du continent américain comme celle intitulée "Le Livre du Hopi", par l'entremise de quelques petites phrases désensablées dans le désert de cette superficialité amnésique humaine qui caractérise notre espèce, nous bousculent. 
En effet, quand on lit "Le secret des Étoiles Sombres", l'on ne peut s'empêcher d'éprouver le sentiment que toutes ces citations ne constituent nullement un point de départ, mais un écho lointain ou un reflet défiguré de ce qui a été originellement consigné ... dans un cristal Ǧírkù. C'est flagrant : une citation quelconque mentionnée par Anton Parks, aussi incertaine et nébuleuse qu'elle puisse paraître au premier abord, s'éclaircit d'elle-même au fil de la lecture du chapitre qui suit. On espère que quelques-uns d'entre les lecteurs souhaiteront du moins partiellement compléter leur instruction dans ces autres documents qui dès à présent seront vus et revus inéluctablement sous un autre jour. Mais même sans cette volonté, 
le but est atteint : nous sommes tous enrichis.

Nous avons compris que notre scribe est habilité à relater le plus fidèlement possible des événements advenus dans un passé immémorial dont les éclairs successifs portés par une fréquence de lumière incompatible avec celle à laquelle se déploie notre temps présent, traversent la mémoire de sa conscience historique étendue, amplifiée à l'échelle du temps cyclique universel et réactivée. "Le sens de l'arbre dans les mythologies" conçu comme le tout dernier chapitre parachevant "Le secret des Étoiles Sombres" est unique en son genre dans ce livre. Or, le scribe en question s'y transforme en un chercheur qui, les pieds fermement posés sur terre, s'emploie à voir si tout ce qu'il reçoit est probant à l'intérieur de l'espace-temps où il vit, cet espace-temps que nous partageons et identifions comme notre réalité perceptible et de ce fait, aux yeux de l'écrasante majorité d'entre nous, comme (aveuglément) la seule qui soit probante. Il est en quête de preuves tangibles dont il a besoin tout d'abord pour lui-même pour ensuite nous faire part du résultat de ses investigations exemplairement ciblées et pointues. En sa qualité de chercheur, il n'hésite pas à analyser possiblement tout ce que pour ce propos la littérature, la linguistique, l'histoire, la médecine et la biologie peuvent lui fournir. C'est indiscutablement remarquable. Mentionnons encore que tout au long du livre, par-ci par-là, il y a des commentaires d'illustrations et des notes de bas de page d'où il ressort dans quelle mesure il importe pour Anton Parks de se référer aussi à ce que d'autres chercheurs ont démontré en archéologie, anthropologie, astrophysique, physique quantique, astronomie ..., donc dans les domaines scientifiques où ils exercent leurs talents et compétences. N'auront donc pas été écartées quelques récentes pistes fréquentées et certaines découvertes pertinentes dont celles qui sont considérées comme malvenues.  

Je vous prie de m'accorder votre temps de lecture à une digression qui à cet endroit me semble justifiée. Est-il nécessaire de nous rappeler que l'establishment planétaire de la science officielle qui, dans le prétendu souci de transparence et d'impartialité, est loin d'être prêt à ouvrir ses archives, ateliers et laboratoires aux chercheurs indépendants ?, loin aussi d'être prêt à les ouvrir à temps, car une marge d'au moins plusieurs dizaines d'années de retardement lui convient ? Est-il si difficile de constater que, tout en s'obstinant à chérir ses zones interdites et ses dossiers classés top secret, ledit establishment ne donne son aval qu'à ce qui l'arrange et freine de mille et une manières ce qui ne l'arrange pas ? Un Nikola Tesla n'est pas le seul à en avoir payé les frais. Albert Einstein a établi la constante cosmologique de 66,6% qui est précisément la valeur en pourcentage de l'énergie antigravitationnelle entraînant l'expansion de l'univers observable. Cette énergie est à la base du dédoublement de la perception naturellement discontinue de l'espace et du temps. Mais la communauté scientifique de cette époque contraignit Einstein à annoncer : "C'est la plus grande erreur de ma vie.". En 1998, le duo Brian Schmidt et Saul Perlmutter (Nobel 2011) a prouvé la réalité tangible de cette énergie. On dirait triste ironie du sort, ce qui n'est pas le cas. En l'occurrence il s'agit de l'inéluctable impasse des manipulations : Einstein ne s'est pas trompé !  

À l'heure actuelle, l'éminent physicien français Jean-Pierre Garnier Malet récompensé à Athènes pour sa découverte concernant la reconstitution originelle de l'alphabet grec et l'importance de cet alphabet dans la compréhension du dédoublement des temps, reçoit en 2006 le prix prestigieux Best Paper Award de l’American Institute of Physics (AIP) à New York City. En France, ce grand scientifique et humaniste hors du commun, titulaire de doctorat de mécanique des fluides n'est toujours pas reconnu dans les milieux scientifiques officiels. L'Académie des Sciences le boude et évite d'évoquer son nom, comme si JP Garnier Malet n'existait pas. Du coup, pour divulguer le fruit de ses recherches à un grand public, il s'en trouve contraint d'agir en solitaire, soutenu juste par un petit groupe d'amis et, la plupart du temps, de donner des conférences en dehors de l'Hexagone, ce qu'il continue de faire inlassablement parce que sa découverte est simplement l'antidote le plus efficace contre tout notre mal-être et le chaos que ce mal-être génère. Mais attention : n'en déplaise aux acolytes de l'obscurantiste adage "je suis libre de penser ce qui me plaît", cet antidote implique inconditionnellement notre responsabilité personnelle illimitée en matière de l'émission et du contenu de nos propres pensées ... No comment ? Un autre Français, cette fois-ci un des plus grands linguistes de notre temps et écrivain qui s'appelle Anton Parks doit-il attendre combien de temps pour que les académiciens daignent ouvrir ne serait-ce qu'un de ses livres et le lire jusqu'à la dernière page, mais pas en diagonale ? une éternité ? Il est plus que certain que certains d'entre eux ont entendu parler de lui. Et alors ? Rien. Silence de plomb. Ici et ailleurs, la liste des chercheurs auxquels on ne facilite pas le travail est bien longue. Dans notre civilisation qui se veut éclairée et ne l'est pas encore, les carrières scientifiques et littéraires sont vouées à la compétition, ce qui fait qu'elles ne sont pas à l'abri de la jalousie. Ne perdons cependant pas de notre vue le fait qu'au-delà de tous ces agissements égotiques de basses fréquences, il y a autre chose. Heureusement, une institution comme Prix Nobel existe. Quelques ombres ne doivent pas en être contentes et elles rôdent ... mais pas pour longtemps, car au jour le jour pour tout le monde, pour tout un chacun d'entre nous tous sans exception sur cette planète, il devient de plus en plus difficile de mentir. De mentir à soi-même et aux autres. Signe des temps qui se rapprochent.

Encore un mot sur les illustrations dans "Le secret des Étoiles Sombres". Comme pour "Le livre de Nuréa", Frantz Lasvignes est l'auteur de la plupart d'entre elles. Toutes ont été réalisées en mode numérique. Le fait est que cet artiste est passé maître dans les visualisations numérisées destinées à être incorporées dans des livres et aussi dans l'imagerie en 3D. Ses vidéos dont celles sous forme de teasers et de bandes-annonces témoignent du très haut niveau de professionnalisme dans l'emploi des procédés techniques auxquels il a recours. Il est évident que technologie et ordinateur ne constituent pas la condition sine qua non du succès. Quels que soient les outils employés, dans le parcours de tout créateur, trois ingrédients de base qui sont imagination, talent et travail doivent s'équivaloir et se compléter en synergie. Dans le cas de l'illustrateur en question ces trois ingrédients s'équivalent et se complètent effectivement. À cela s'ajoute le fait que c'est quelqu'un à qui le moindre détail contenu dans ce qu'il voit selon la guidance d'Anton Parks n'échappe ni au désir, ni à la nécessité de rendre tel paysage, telle architecture, tel objet, tel portrait ou telle scène picturalement fidèle et impérativement complémentaire au passage correspondant dans le texte. En définitive, exercée en innombrables concertations réciproques, la coopération entre Frantz Lasvignes et Anton Parks porte ses fruits. C'est une grande réussite. Félicitations à vous deux ! 

[...]

Tout être humain a plusieurs dons. La configuration de ceux-ci est mobile et singulière du fait que dans l'absolu elle ne trouve jamais son pareil. C'est ce qui nous différencie et rend interdépendants dans l'esprit de coopération. C'est ce qui fait qu'en toute honnêteté nous ne manquons de rien et que, en définitive, la richesse est à notre portée parce qu'elle est en nous tous ici sur cette magnifique Planète Bleue et partout ailleurs. Il suffit juste de regarder l'autre avec des yeux nouveaux pour pouvoir reconnaître la force de sa différence et désigner sa place aussi minuscule soit-elle dans l'espace de notre cœur. Pour qu'un tel regard se mette à rayonner, il est indispensable que ce même cœur soit libéré de petitesse, d'orgueil, de méfiance et de subterfuge. Une fois déchargé de son ballast, ce cœur saura tout naturellement [...] s'emplir d'humilité, de compassion, de courage et de cette pure curiosité transcendante qui prodigue l'indomptable élan vers la rencontre de l'autre pour que nos univers échangent leurs trésors. À chacun ses talents. Il m'est par exemple donné de repérer des Perles, d'entrevoir leur beauté translucide et, face au déclin opportun de la torpeur généralisée de la pensée, d'affranchir leur prodigieuse valeur humaine intemporelle. Quand cela se produit, j'agis en conséquence.

Anton Parks est une de ces Perles. 

Elles sont rares dans notre contrée où le commun de nous les Terriens, habitués à discourir sur le royaume des galets, ne les voient pas. 

[...]

Si quelqu'un s'interroge sur le pourquoi originel de ce texte, mon mental analytique, n'étant qu'au service d'une cause dont il ignore tous les tenants et aboutissants, aura du mal à pourvoir une explication exhaustive. Mais voilà ce qu'expose l'irréfutable force d'une évidence enracinée au plus profond d'un secret dévoilé aujourd'hui partiellement : issues d'une molécule de convergence commune, la trajectoire d'Anton Parks et la mienne décrivent des spirales se déployant dans les couloirs lumineux 
d'une même tonalité identifiée comme étant celle de l'Âme.




"Je suis bien conscient de la portée des informations compilées dans cette série et le fait qu'elles risquent fort de perturber de nombreuses idées reçues concernant l'Orient et plus particulièrement l'Histoire mondiale de l'évolution. Vous serez seul juge. Je pense procurer avec ces Chroniques [du Ǧírkù], la dimension nécessaire à la compréhension idéologique et secrète du 'Bestiaire Céleste', c'est-à-dire des 'dieux' de la Terre."
                                                                             
                                                    "Le secret des Étoiles Sombres", Anton Parks 

[...]




Je suis personnellement responsable 
de toutes mes pensées et de tous mes actes.
 
FlorRaison le 27/09/2016  
Irénée Sikora, un artiste et scribe indépendant.










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